Alors que se tiennent à Paris et à Saint-Denis des cérémonies d’hommage aux 131 morts des attentats du Bataclan, des terrasses de café et du Stade de France, seuls le silence et la prière apparaissent comme des réponses à la tristesse et à l’inquiétude.

La tristesse pour ces jeunes vies fauchées, ces couples et ces familles touchées au cœur, ces blessés qui tous les jours réapprennent à vivre. L’inquiétude aussi car, nous le savons bien, le terrorisme reste là, tapi et les attentats déjoués le disent… Et que la confiance en la vie est fragile quand la peur rôde.

Un roman pour comprendre

La lecture peut être aussi un outil, si ce n’est de compréhension, du moins d’approche. C’est pourquoi […]