La place de nos facultés de théologie est délicate. Celle-ci sont écartelées entre des Églises qui, pour survivre, sont de plus en plus militantes, et un monde médiatique et universitaire de plus en plus inculte des traditions dont sont issues nos sociétés. Ce sont, ici et là, les effets pervers de la laïcité, qui n’a pas le même sens dans la société encore très catholique de 1905 et celle, sécularisée en surface, d’aujourd’hui.

Je voudrais rapidement évoquer les forces et faiblesses des diverses formes d’institutions. L’avantage des facultés de théologie intégrées à l’université publique, comme en Allemagne, c’est la […]