Quand les abeilles disparaîtront, ce sera la fin de l’humanité et les abeilles offrent un bel exemple de vie communautaire et une parabole de la vie communautaire. Voilà les raisons données par les sœurs lorsqu’on leur demande pourquoi elles se lancent dans l’apiculture. L’idée de faire du miel est venue de l’Aide au travail des Cloîtres et de l’Artisanat Monastique. Les diaconesses ont alors mené une réflexion sur leur travail artisanal et se sont dit qu’il était temps de recréer des équipes d’artisanat autour d’un travail réalisé ensemble, fait main, dans la beauté du geste… un travail bien fini.

Il y a une vingtaine d’années, il y avait des ruches à Versailles, mais elles ont été laissées à l’abandon. Il y a deux ou trois ans, un apiculteur salarié chez les sœurs du Sacré-Cœur a contacté les diaconesses car il a trouvé que leur propriété était idéale sera la fin de l’humanité et les abeilles offrent un bel exemple de vie communautaire et une parabole de la vie communautaire. Voilà les raisons données par les sœurs lorsqu’on leur demande pourquoi elles se lancent dans l’apiculture. L’idée de faire du miel est venue de l’Aide au travail des Cloîtres et de l’Artisanat Monastique.

Dans la beauté du geste

Les diaconesses ont alors mené une réflexion sur leur travail artisanal et se sont dit qu’il était temps de recréer des équipes d’artisanat autour d’un travail réalisé ensemble, fait main, dans la beauté du geste… un travail bien fini. Un projet écologique et fédérateur Il y a une vingtaine d’années, il y avait des ruches à Versailles, mais elles ont été laissées à l’abandon. Il y a deux ou trois ans, un apiculteur salarié chez les sœurs du Sacré-Cœur a contacté les diaconesses car il a trouvé que leur propriété était idéale en terme de végétalisation pour cultiver du miel. Les sœurs ont donc réfléchi sur la manière de mener cela à bien, avec la collaboration de l’Artisanat Monastique. Comme elles sont très sensibles à l’écologie, elles ont pensé que c’était une activité à la fois écologique, traditionnelle et qui allait les fédérer autour d’un projet ayant du sens pour elles.

M. Bébon, apiculteur, est donc venu leur présenter le projet qui a démarré au printemps dernier avec trois ruches. Il y en a six aujourd’hui, avec une première récolte qui a eu lieu cet automne. Les diaconesses envisageraient aussi d’avoir d’autres ruches en Haute-Loire, lieu idéal où elles ont aussi une maison et où les sœurs, elles l’espèrent, seront formées à l’apiculture à partir de l’an prochain. À terme, elles aimeraient développer cette activité, notamment faire de la gelée royale dont les bienfaits sont bien connus pour la santé. C’est le début d’une grande aventure, à partir d’une micro-entreprise qui devrait se développer autour des abeilles (propolis, gelée royale, graine de pollen, etc.) et davantage de ruches. Tout le miel est naturel et bio. Il y a un parallèle entre la vie communautaire des abeilles et la vie dans une communauté humaine qui ne peut que plaire aux sœurs. Et puis ce sont de bonnes compagnes de vie, elles sont environ actuellement 4 000 par ruches à vivre et travailler ensemble.

Expo-vente chez les Diaconesses de Reuilly le 1er et 2 décembre !

Des idées innovantes pour les cadeaux de Noël et un geste de soutien : le 1er et le 2 décembre, de 10h à 18h se tiendra l’expo-vente chez les Diaconesses de Reuilly, 8 rue Porte-de-Buc à Versailles. Un rendez-vous incontournable pour trouver le cadeau rare, unique et fait main qui fera plaisir à chacun : bougies, cosmétiques, confitures, mobiles d’abeilles et papillons, calligraphie sur bois, gravure sur verre, livres, nappes, pullovers pour enfants tricotés main, layette et autres merveilles issues de l’artisanat monastique seront au rendez-vous autour d’un moment de fraternité et de partage (concert de cor des Alpes, exposition sur les Diaconesses de Reuilly). L’ensemble des produits en vente par l’artisanat est consultable sur le nouveau catalogue sur le site Internet (reliure, livres, bougies, peinture sur bois, cosmétiques, miel, confitures et carterie). Pour toute information, contacter directement par téléphone 01 39 24 18 82 ou par email : artisanatversailles@ fondationdiaconesses.org La vente annuelle artisanale participe pour une part importante des revenus et ressources de la Communauté