Elle avait affronté toutes les questions controversées de la culture évangélique américaine. Écrit sur le littéralisme biblique, le racisme, l’avortement (Voir la traduction en fin d’article)**, l’évolution, la théologie, le mariage, le patriarcat, le leadership féminin et le soutien «évangélique» de Donald Trump. Les témoignages de reconnaissance proviennent du monde religieux dans toute sa diversité. Ils évoquent l’humour, l’intelligence et la générosité d’une femme de valeur. La traduction de l’un de ses plus beaux textes est un cadeau : «Chers pasteurs, dites-nous la vérité». Le travail de Rachel Evans a non seulement encouragé d’autres femmes, issues de tout le spectre théologique, à publier des billets de blog, à enseigner et à écrire des livres, mais il leur a aussi inspiré de continuer d’étudier la théologie, de prêcher et de diriger les églises.
Son mari, Dan Evans, ses amis, Sarah Bessey, son éditrice, et Nadia Bolz-Weber, son amie pasteure luthérienne, ont présidé dans sa chambre d’hôpital au rite liturgique d’onction d’huile, avec ses proches et sa famille, le […]