Le Défap a vécu son assemblée générale le samedi 13 juin dernier par écran interposé. La situation spéciale que vit notre monde n’est plus à rappeler. Elle impacte et continue de créer chez plusieurs la peur, voire même la psychose de la contagion. Le président de la République a commencé en parlant de guerre pour annoncer l’urgente nécessité d’un confinement. La peur a fait son effet et la priorité du droit à la liberté de mouvement est passé au second plan. Sagesse ou principe de réalité, telle restera la question des temps à venir. Dans tous les cas, le Défap comme bon nombre d’organismes, n’a eu d’autre choix que l’adaptation aux nouvelles contraintes conjoncturelles ; c’est-à-dire mis devant deux obligations :

• celle d’avoir une AG statutaire

• celle de respecter la distanciation sociale

Dans de telles contraintes, il a bien fallu du cran devant l’écran, de l’audace pour s’y risquer, du courage pour se lancer dans l’expérience d’une AG par […]