Une meute de loups a été aperçue dans le jardin d’un couple de retraités à Cassis, une observation confirmée par les autorités malgré la rareté du phénomène. Pendant ce temps, en Espagne, un homme a retrouvé un sac contenant 19 000 euros, jeté par erreur par la gérante d’un bar, et a remis l’argent à la police, permettant sa restitution. Enfin, un rappel historique nous ramène à la rafle de Mialet en 1703, où des centaines d’habitants protestants furent déportés par les troupes royales.

Une meute de loups dans le jardin de retraités à Cassis

Un couple de retraités des Bouches-du-Rhône peine à en croire ses yeux. Les caméras de surveillance de leur propriété, perchée sur les hauteurs de Cassis, ont récemment capté des images d’une meute de loups traversant leur jardin. La vidéo, consultée par La Provence, a été examinée par le Parc des Calanques, qui a confirmé la présence des canidés. Malgré les inquiétudes des habitants, les spécialistes se veulent rassurants. Habitués à observer la faune sauvage sur leur vaste terrain en bordure de forêt, les retraités n’avaient encore jamais aperçu de loups. D’après l’Office français de la biodiversité, l’animal a été signalé une trentaine de fois au cours des deux dernières années.

Espagne : la gérante d’un bar jette 19 000 euros par erreur, un homme retrouve les billets et ramène l’argent à la police

Un homme a découvert un sac contenant près de 19 000 euros en liquide dans une benne de recyclage à Leganès, en Espagne. L’argent appartenait à la propriétaire d’un bar qui l’avait jeté par erreur. Selon El País, le sac, rempli de petites coupures, a été remis à la police par un passant qui a souhaité rester anonyme. Après avoir examiné son contenu, les enquêteurs ont trouvé des déchets permettant d’identifier la propriétaire. Les gérants du bar ont été contactés pour récupérer la somme.

28 mars 1703 : la rafle de Mialet

Lors de la guerre des Camisards, les soldats de l’armée royale, sous les ordres de Julien, dit Apostat, un ancien protestant converti au catholicisme, déportent presque toute la population de Mialet. Au total, 210 hommes, 280 femmes et 180 enfants sont forcés de marcher jusqu’à Montpellier avant d’être envoyés en bateau vers les prisons de Perpignan. Une centaine d’entre eux ne reviendront jamais.