Le titre de chef de l’Eglise d’Angleterre, mais aussi de la communion anglicane (mondiale) est tenu par l’archevêque de Cantorbery.

Rappelons aussi qu’Elisabeth II s’était de longue date distinguée par une foi chrétienne explicitement revendiquée, et une amitié singulière avec l’évangéliste Billy Graham (lien).

Le pasteur et théologien évangélique John Stott (église All Souls à Londres) fut longtemps son aumônier.

Contrairement à ce que l’on aurait pu juger par les apparences (poids du protocole, du décorum) elle était plus proche de la tendance évangélique de l’Eglise anglicane, que de sa tendance High Church.

Au sujet de cette diversité anglicane interne, cf., entre autres, la thèse de Christopher Sinclair (lien).

Last but not least, rappelons qu’outre le livre de Dudley Delffs sur « la foi d’Elisabeth II », un autre petit livre avait fait beaucoup parler au sujet de la foi de la souveraine.

Publié à l’occasion des 90 ans de la reine, il s’intitule […]