Il y a huit ans, pour la première fois, un afro-américain accédait à la présidence des États-Unis, ce qui constituait une défaite historique du racisme. En plus de son intelligence, on percevait chez lui une élégance, une ouverture et un respect de l’humain peu communs chez les politiques. Il y a eu des déceptions, même si son bilan parait plutôt positif.
Aujourd’hui, l’arrivée de Trump à la Maison Blanche suscite mécontentements et inquiétudes. On a honte de la vulgarité et de la grossièreté qui transparaissent à travers l’image (exacte ou faussée, je l’ignore) qu’en donnent les médias. On a peur d’une politique brutale, simpliste et dangereuse, sans pitié ni souci de justice. Peut-être que Trump décevra « en bien » comme disent les suisses, autrement dit, qu’il sera meilleur que ce qu’on en attend ; ce n’est pas exclu.
L’Ancien Testament parle de bons et de mauvais rois. […]