… ce qu’une partie de la presse a jugé bien prétentieux.

Sans céder à une « macronmania » qui ne durera guère, je trouve ce choix raisonnable. D’abord, parce que le Président s’adresse à la nation à travers les parlementaires qu’elle a élus (il reconnaît leur importance) et non à travers des journalistes mandatés par leurs rédactions. Ensuite, parce que dans une interview, des questions coupent sans cesse le propos et, même pertinentes, le rendent décousu. Un discours est autre chose qu’une addition de « petites phrases ».

Dans les années 70, on a tenté dans ma paroisse de remplacer la prédication par des échanges entre les participants du culte. On y a vite renoncé. […]