Un documentaire sur la découverte de la Chouette d’or est diffusé au cinéma du 2 au 3 mai à travers toute la France, l’occasion pour les « chouetteurs » d’obtenir enfin des réponses à toutes leurs questions. Pendant ce temps, l’ancien candidat à l’élection présidentielle Philippe Poutou ouvre aujourd’hui une librairie à Bordeaux, pour un changement de carrière radical. Enfin, le 2 mai 1630 débutait la tradition de la série de tableaux des « Mays » de Notre-Dame de Paris, dont certains ont été réalisés par les peintres protestants Sébastien Bourdon et Louis Testelin.
La découverte de la Chouette d’or enfin expliquée à travers un documentaire
Le 3 octobre 2024, la quête de la Chouette d’or touchait à sa fin après trente et un ans de recherches. La solution des onze énigmes menant à la cachette du trésor n’a pas été révélée pour autant par l’organisateur du jeu Michel Becker, celui-ci préférant attendre ce 2 mai pour lever le voile dans un documentaire diffusé au cinéma dans toute la France sur deux jours, comme le rapporte Le Monde. Ce dernier s’intitule sobrement La Découverte de la Chouette d’Or.
De candidat à la présidentielle à libraire, le changement de carrière de Philippe Poutou
C’est une reconversion peu banale à laquelle se livre aujourd’hui Philippe Poutou, ancien candidat à l’élection présidentielle et figure de proue du Nouveau Parti anticapitaliste, alors qu’il reprend la librairie Les 400 Coups, à Bordeaux, peut-on lire dans Sud-Ouest. C’est au côté de sa compagne Béatrice Walylo qu’il se lance dans cette aventure littéraire indépendante, avec la volonté de ne pas être prisonnier de « l’industrie de la culture » et ne pas faire du lieu « un supermarché du livre« .
2 mai 1630 : la tradition des « Mays » et les peintres protestants
Il s’agit peut-être d’une tradition catholique, mais les « Mays » de Notre-Dame de Paris sont pourtant marqués par la contribution de célèbres peintres protestants : Sébastien Bourdon et Louis Testelin. Les deux artistes, dont les œuvres sont toujours exposées dans la cathédrale, ont contribué de manière significative à cette série de tableaux commandés chaque année par la confrérie des orfèvres de Paris de 1630 à 1707.