Peut-être parce qu’elles ont justement traversé les siècles, parce qu’elles sont construites solidement, qu’elles ont résisté aux vents contraires et qu’elles continuent d’être chantées aujourd’hui encore.

Je salue les démarches des auteurs qui modifient, renouvellent et adaptent les textes anciens de chants pour les rendre plus compréhensibles et plus accessibles en nous permettant en même temps de garder la mémoire de ces témoins précieux de l’histoire du christianisme.

La mort succombe

Notre exemple est justement un chant qui a vécu cette transformation. La mélodie et le texte original, Valet will ich dir geben, datent de 1613. Il s’agit, dans la strophe 1, d’un adieu au […]