Ainsi par exemple à la lettre D nous trouvons autant le roi David que Daniel Defoe, qui dans ses romans se réfère fréquemment à la Bible, le Déluge, le Danemark, pour son hymnologie, pour Andersen , pour Kierkegaard et bien d‘autres.

L’entrée David occupe 10 pages, avec sa place dans la Bible, ses représentations parmi les pères de l’Eglise, ou à la Réforme, avec notamment la traduction des psaumes par Clément Marot et Théodore de Bèze, chez Pierre Bayle, jusqu’à aujourd’hui, entre la vénération, la critique et même l’humour. […]