Deux mille ans plus tard, Galilée, avec ses premières expériences sur la gravitation, ouvrait la voie à la science moderne. Dès ce moment, des tensions sont apparues entre les scientifiques et l’Église, puisque les premiers infirmaient les textes bibliques qui, pour la seconde, décrivaient la seule « vérité ».
Aujourd’hui, la science semble bien expliquer le fonctionnement du monde, au point que certains scientifiques balaient d’un revers de main l’hypothèse de l’existence de Dieu, en s’exclamant « balivernes ! »…Face à eux, certains croyants créationnistes s’accrochent désespérément à la lecture littérale du texte biblique, refusant d’envisager qu’elle puisse être discutable. Les conflits entre la science et la religion sont donc loin d’être totalement résolus, même si l’Église catholique a récemment reconnu que Galilée et Darwin pouvaient avoir eu raison.
Pourtant la coexistence de la science et de la foi est possible. Arnold Benz, astrophysicien suisse, le montre brillamment dans son ouvrage L’univers offert.
Il nous emmène avec enthousiasme dans un grand voyage dans l’espace et dans le temps à travers l’univers, depuis sa naissance avec le Big-bang, il y a 13,7 milliards d’années, jusqu’à l’évocation de sa mort future. […]