«On était naïfs, on ne s’inquiétait pas trop», commente Sophie. Cette enseignante en sciences médico-sociales, originaire de la région toulousaine, et son mari, pasteur originaire de Bretagne, racontent: «Au bout d’un an d’essai, il n’y avait pas de quoi s’alarmer. Mais s’il y avait un problème, on voulait le savoir et le régler.» Après la consultation d’un gynécologue spécialisé dans la PMA, suivie d’un an et demi de tests et la prise de médicaments, Sophie apprend qu’elle souffre d’un SOPK (syndrome des ovaires polykystiques), une maladie hormonale qui touche […]