Cette question a été le point de départ d’une discussion entre amis. Alors que je répondais par la négative, une amie a rétorqué que j’avais tout de même une grande part à jouer. Certes, le bonheur de ma femme ne dépend pas entièrement de moi mais mes actions et l’amour que je lui porte peuvent participer à son bonheur.

Prenons une illustration sportive. D’une manière générale je suis un compétiteur: je veux gagner. Quand je joue au tennis, il m’arrive de me mettre la pression du résultat, à savoir gagner le match. En cas de défaite, je crois que je suis mauvais, bon à rien, ou que mon entourage va être déçu. Ces pensées négatives me hantent et génèrent du stress, de l’anxiété, de la nervosité, etc. Bref tant de choses qui vont réduire considérablement mes chances de gagner. En fait, lorsque je me considère comme responsable du résultat, je dresse des obstacles sur mon chemin. Et l’objectif devient […]