On entend réagir ainsi contre les violences infligées aux femmes (que Carmen se soit conduite à son égard en prédatrice n’excuse nullement les coups de don José). D’approuver cette intention n’interdit pas de s’interroger sur ce changement. Sert-on la cause des femmes maltraitées en substituant à l’image d’une victime celle d’une meurtrière ?
Imaginons un remaniement analogue de la fin des évangiles. Au lieu de se laisser arrêter et condamner, Jésus dirigerait une insurrection armée qui renverserait les pouvoirs établis et aboutirait à […]