C’est un grand moment de musique classique auquel nous convie l’auteur, Jean Pavans. Une découverte surprenante de ce que fut Hector Berlioz (1803-1869), ce génie, qui fut aussi singulier que sa musique.
Berlioz ne mâchait ni ses mots ni le fond de sa pensée. Il écrivait à propos de la confession protestante : « (… ) Si j’avais eu le malheur de naître au sein d’un de ces schismes éclos sous la lourde incubation de Luther ou de Calvin, à coup sûr, au premier instant de sens poétique et de loisir, je me fusse hâté d’en faire abjuration solennelle » et encore ceci à Franz Listz à propos de Haendel : « Quand j’entends ou […]