On peut dire que c’est plutôt le sous titre du livre qui donne le meilleur aperçu du contenu de cet ouvrage. On y trouve en effet dans le premier chapitre « Le pouvoir de Dieu » un développement sur la notion de pouvoir ou d’autorité dans la Bible à partir des 4 termes grecs qu’elle utilise pour décrire le pouvoir exercé par Jésus-Christ dans son ministère d’enseignant et de thaumaturge. Mais c’est essentiellement les chapitres suivants qui sont les plus pratiques et à mon sens les plus intéressants.
Dans le deuxième chapitre, A.G. montre très simplement que le pouvoir peut être tantôt positif, tantôt négatif mais toujours nécessaire si l’on veut exercer une mission bienfaisante pour l’humanité : « […] on ne peut se mettre au service des autres si l’on se résigne à une situation d’impuissance. » (p. 29). les deux derniers chapitres décrivent […]