Plus que n’importe quelle méthode pédagogique aussi intelligente et ingénieuse soit-elle, des effectifs limités permettent un bon enseignement : les enfants sont mieux suivis et plus impliqués. Le nombre douze, qui m’évoque les douze disciples, paraît bon : assez pour une vie et une dynamique de groupe, mais pas trop, ce qui évite l’impersonnalité de l’ensemble.

On aimerait que diminue sensiblement le nombre d’élèves par classe à tous les niveaux du primaire et du secondaire. Une telle mesure coûterait très cher, sans doute trop pour qu’elle soit sérieusement envisageable. Elle permettrait pourtant […]