Débuts timides

Quoique le jubilé de 1617 ait été, en partie, dû à l’initiative d’un prince réformé, il n’a pas suscité beaucoup d’écho hors de l’Empire.

A Genève, Théodore Tronchin (1587-1657), recteur de l’Académie, évoque le jubilé de la Réformation dans son discours pour les promotions de 1617 : après un historique du jubilé depuis les jeux séculaires de l’Antiquité et la dénonciation de la formule jubilaire adoptée par les papes de Rome afin de renflouer les caisses de la papauté […]