• Palme d’or : 

Parasite
Bong Joon-ho est de retour avec un fabuleux drame familial en forme de thriller socio-politique, ou encore de satire sociale noire, pointue et parfois hilarante.

  • Prix du jury (ex-æquo) :

Les Misérables
Pour son premier long-métrage, Ladj Ly fait passer le spectateur du rêve d’une cohésion sociale post Coupe du Monde, à la réalité d’une tragédie de jeunes de cités laissés à l’abandon.

Bacurau
Un film brésilien qui ne pourra vous laisser insensible… d’une façon ou d’une autre.

  • Prix d’interprétation masculine : Antonio Banderas pour Douleur et Gloire, de Pedro Almodovar

Douleur et gloire
Le portrait émouvant d’un cinéaste qui réconcilie ses triomphes et ses tragédies passées. Un film à caractère autobiographique magnifiquement incarné par Antonio Banderas.

  • Prix d’interprétation féminine : Emily Beecham pour Little Joe, de Jessica Hausner

Little Joe
C’est une vraie parabole que nous propose Jessica Hausner avec ce récit d’anticipation. Emily Beecham y joue le rôle d’Alice, une phytogénéticienne, mère de Joe, qui a mis au point une plante produisant un pollen capable de modifier l’humeur.

  • Prix du scénario : Portrait de la jeune fille en feu, de Céline Sciamma

Portrait de la jeune fille en feu
Le film de Céline Sciamma est d’une grande beauté et d’une éblouissante sensualité qui se construit dans la pudeur plutôt que dans l’exhibition.

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  • Prix du Jury œcuménique : Une vie cachée, de Terence Malick

Une vie cachée
Une ode déchirante à la foi, au travers de l’histoire (vraie) de l’autrichien Franz Jägerstätter, qui a refusé de se battre aux côtés des nazis.