En 2017, je diminue le café et je respecterai les deadlines. Le 9 janvier, mes résolutions de la nouvelle année sont déjà du passé. Il doit en être des bonnes résolutions comme des sapins de Noël, une fois les fêtes passées, leur place est à la déchetterie. Pour me donner bonne conscience, je me suis quand même lancé dans une recherche sur l’origine de cette tradition. Et même à cet exercice j’ai échoué. Selon les sources, les bonnes résolutions seraient d’origine babylonienne, romaine, nordique, juive, musulmane ou chrétienne.
Babylonienne d’abord: selon «Direct matin» la religion d’alors voulait que l’on remette les compteurs à zéro pour la nouvelle année en rendant les objets empruntés et en remboursant les dettes avant le changement d’année. Une tradition qui se serait perpétuée chez les Romains, qui auraient pris l’habitude de faire des promesses à Janus, le dieu aux deux visages, l’un tourné vers le passé, l’autre le futur.
«La Presse» rappelle pour sa part que les peuples nordiques prêtaient serment durant la période entourant le solstice d’hiver. Le média rappelle aussi que la fête juive de Yom Kippour invite les croyants à méditer sur les fautes passées et à prendre des engagements pour s’améliorer. De son côté, l’islam invite […]