Une chatte retrouvée 800 km plus loin

Le soulagement se mêle à l’incompréhension pour Marco, un chauffeur routier du Nord. L’homme reste stupéfait par le retour miraculeux de sa chatte Maya, comme le raconte 20 Minutes

Cette compagne de route qui l’accompagne partout à bord de son camion a été retrouvée neuf jours plus tard en Loire-Atlantique, à plus de 800 km de l’endroit où elle avait disparu dans l’Hérault. 

La disparition de Maya avait eu lieu à la fin du mois de janvier lors d’une pause dans un restaurant routier près de Montpellier. Le Maine Coon avait sûrement profité d’une pause pour s’échapper par la fenêtre et grimper dans un autre camion.

Marco a partagé un appel à témoins sur les réseaux sociaux, en vain. Cependant, neuf jours après sa disparition et le jour de son anniversaire, une clinique vétérinaire lui a annoncé que Maya avait été retrouvée dans un garage en Loire-Atlantique, grâce à son puçage.

Il se fait vacciner 217 fois contre le Covid

Un citoyen allemand de 62 ans se serait fait vacciner à 217 reprises contre le coronavirus au cours des quatre dernières années, invoquant des « raisons personnelles ». Si ce chiffre semble à peine croyable, des scientifiques attestent déjà de 134 de ces vaccinations, faisant de cet individu un sujet d’étude fascinant, nous expliquent nos confrères de la BBC.

Les chercheurs de l’université d’Erlangen-Nuremberg, en Allemagne, se sont penchés sur ce cas intrigant dans le cadre de leurs travaux sur les effets de l’hypervaccination sur le système immunitaire. Les résultats de tests sanguins effectués sur ce patient ont été publiés dans une étude parue le 4 mars dans la revue The Lancet Infectious Diseases.

L’étude suggère que son système immunitaire n’a pas été affaibli, mais plutôt renforcé, avec une augmentation significative d’anticorps à chaque vaccination. Bien que ce cas soit intriguant, les chercheurs insistent sur son caractère unique et soulignent qu’il ne justifie pas une généralisation de l’augmentation du nombre de doses de vaccin.

L’édit d’Amboise

Par l’édit d’Amboise, un pardon général est accordé en 1563 à toutes les personnes impliquées dans des affaires d’hérésie par le passé. Les procédures judiciaires en cours sont suspendues, et tous les détenus protestants doivent être libérés. Signé durant le règne du très jeune François II (1559-1560), cet édit n’a pas réussi à prévenir la conjuration d’Ambroise du 7 mars 1560. Les protestants planifient alors de libérer la famille royale de l’emprise des Guise, ardents catholiques, en enlevant le roi.