« Une relation avec un animal, qui est à mon sens symbole de l’innocence, cela nous permet de vivre une expérience spirituelle », a expliqué la pasteure Françoise Surdez. « L’animal nous invite à développer notre sixième sens, le sens de l’émerveillement », a expliqué la pasteure qui prêchait samedi aux Reussilles sur le premier récit de création de la Genèse. Devant une assemblée composée d’une huitantaine d’humains, d’une vingtaine de chiens, de deux chevaux et de deux cochons d’Inde. Un mouton était excusé et l’on a même vu un crocodile… en peluche, parmi les fidèles.

« Comme Dieu nous voyons que cela est beau et bon », grâce à l’animal à comparé la Françoise Surdez, avant de conclure par une invitation au respect de la nature: « c’est pourquoi l’injonction faite à l’homme de dominer la Création ne doit pas être comprise comme une invitation a détruire est à exploiter, mais à la modération et au respect. » […]