L’écologie cherche actuellement des fondements plus profonds parce que les discours actuels semblent inopérants : nous assistons impuissants à la dégradation progressive et irréversible de la nature. Les Chrétiens se sentent incontestablement concernés.

« Mon ancien collègue, Nicolas Bouleau, m’a proposé une série de trois dialogues autour de la manière dont j’investissais ma foi dans les questions d’écologie. Lui même est l’auteur d’un ouvrage : Ce que nature sait, La révolution combinatoire de la biologie et ses dangers (PUF, 2021). Notre deuxième entretien porte plus particulièrement sur son livre.
J’ai aimé ces moments de dialogue où mon collègue, ouvert à la foi sans partager ce que je crois, m’a poussé à expliciter mon point de vue. »