Non à la tyrannie ! Après la Saint-Barthélemy (1572), tel est le cri des monarchomaques. Les deux racines grecques du mot renvoient à « combattre » le « monarque ». Saisis d’effroi après le massacre des leurs, des penseurs protestants mettent en garde contre la dérive autoritaire. Refusent l’évolution amorcée vers l’absolutisme.

Leur cap : un pouvoir qui peut se partager. Ces positions n’ont pas triomphé. On attribue à […]